« La maladie peut être considérée comme une tentative de guérison, comme un effort tenté pour rassembler les éléments du moi que le traumatisme avait dissociés, pour en faire un tout puissant en face du monde extérieur. » Freud, 1939, Moïse et le monothéisme, Paris, Gallimard, 1975, p. 107.
"Les symptômes névrotiques « constituent des tentatives pour remettre le traumatisme en valeur, c’est-à-dire pour ranimer le souvenir de l’incident oublié ou plus exactement pour le rendre réel, le faire revivre » Freud, 1939, Moïse et le monothéisme, Paris, Gallimard, 1975, p. 103.